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Tirons-nous toujours quelque enseignement de nos expériences malheureuses ? En principe oui… Les pilotes de la rédaction vous confient un événement qui a compté.
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En matière de travail aérien, l’ULM a tendance à remplacer l’avion. Tractage de banderole, largage para, photo en vol, etc. Autant de missions qui sont désormais assurées en ultraléger. Les appareils sont facilement aménageables et la réglementation est très légère.
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Plus d’un pilote, évoluant de nuit en monomoteur, chasse de son esprit l’éventualité d’un arrêt moteur en se disant que l’avion, ignorant qu’il fait nuit, n’a aucune raison objective de s’arrêter. Et pourtant…
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En juin, dix pilotes de la Flying Badgers Team ont décidé de rejoindre les îles Shetland en passant par les îles françaises de l’Atlantique, les îles Anglo-Normandes, l’Irlande et les îles Hébrides, et un retour par l’Angleterre.
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D’origine australienne, cette machine multifonction est commercialisée par le géant indien Mahindra. Comblant avantageusement une niche laissée par la concurrence, le GA8 Airvan est résolument pratique, endurant et économique. Deux cents exemplaires volent de par le monde.
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Il est tentant de passer par de petits appareils, technologiquement évolués et très peu chers, plutôt que d’utiliser des instruments certifiés pour changer son avionique. Mais est-ce une bonne idée ?
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Blois en septembre, c’est comme Noël. On attend ça toute l’année. On attend de voir sur le sol français toutes les nouveautés du salon Aero Friedrichshafen d’avril. On attend de voir qui va prendre la distribution de telle ou telle machine. Noël avant Noël…
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Des pilotes privés qui voleraient 70 heures par an en moyenne au lieu de 13, des centaines d’avions légers en l’air à travers la France dès que le temps le permet, de nouveaux enthousiastes à former au bout du voyage, des écoles qui tournent à plein, des ateliers et des constructeurs tirés d’affaire, voilà ce à quoi pensent les créateurs des plates-formes de coavionnage comme Youssef Oubihi. Mais, au fait, est-ce vraiment légal ?
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Depuis 5 ans, l’Organisme pour la Sécurité de l’Aviation Civile (OSAC) est le grand acteur de la surveillance de la navigabilité de notre secteur aéronautique : avions, organismes de maintenance et de formation, compagnies aériennes. Dans quelques mois, il remettra son mandat en jeu.
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Au cours des dernières années, il était difficile de trouver une personne impliquée dans l’aviation générale qui ait un mot de félicitations à l’encontre de l’EASA. Mais à la suite du changement de gouvernance et après la constitution du groupe « Aviation générale » en son sein, les choses semblent être sur le point de s’améliorer.
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On le sait, le TB-20 GT est un avion réussi. Avec une bonne cote sur le marché de l’occasion. Voilà pourquoi un projet de TB-20 diélesilé, l’ECOJET, a été lancé par le pilote d’essais Jean-François Sochor, avec une réindustrialisation prévue à Tanger. Histoire de nous faire patienter, Jean-Pierre Rigaud nous a prêté son F-GOOD, l’un des derniers TB-20 construits à Tarbes.
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L’avionique d’aujourd’hui est bien différente de ce que nous avions imaginé il y a 25 ans. Comment va-t-elle évoluer dans les quelques années à venir ? Allons-nous encore connaître un saut technologique comparable, ne risquons-nous pas d’être à notre tour les grincheux qui, aujourd’hui, regrettent les jours heureux où il n’y avait que des VOR et ADF ?
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Sébastien travaille comme commandant de bord sur Beech 200, il est responsable formation des équipages (RDFE) pour Max’Air, une compagnie d’aviation d’affaires basée à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Il nous raconte une journée de vol typique.
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SERA est une première étape dans l’harmonisation des règles de l’air dans l’ensemble des pays européens et certains états associés. L’objectif de ces règles est d’assurer une homogénéité dans l’application des règles de l’air entre les pays et permettre plus facilement la création de blocs d’espaces fonctionnels transfrontaliers.
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Un pilote privé peut-il partager ses frais avec ses passagers ? Dans quelles limites ? Maître Castel se penche sur la question.
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Frédéric Braun et ses amis, pilotes privés hélicoptères, décident de sortir de leurs habituelles navigations pour aller plus loin : destination l’Ecosse. Ils sont partis à six en juin avec deux Robinson R44.