Sommaires Aviation et Pilote

Si le transport aérien est encore convalescent, notre aviation devrait reprendre plus vite des couleurs quand la restriction des 100 km sera levée. C’est le moment pour se rafraîchir les idées !

Mécanique ou connectée, la montre est indissociable du pilote. Pourtant, dans la seconde catégorie, rares sont les prétendantes. Revue d’un modèle 100 % aviation, d’un autre à la griffe mythique et d’une prétendante plus abordable qui ne manque pas d’atouts.

Beaucoup ne connaissent pas le texte européen CS-STAN alors qu’il permet de changer son avionique ou encore d’effectuer certaines réparations de manière simplifiée sans déposer de dossier de modification. Un avantage énorme et, en plus, économique !

Turbotech, basée à Toussus-le-Noble, conçoit des turbines nouvelle génération pour l’aviation générale. Plus performantes et plus économes, elles deviennent très intéressantes à l’usage.

Vols suspendus, frontières fermées, recettes nulles, les compagnies aériennes paient un lourd tribut au COVID-19, plongeant tout le secteur dans une crise possiblement disruptive.

Souvent questionné sur ses coups de cœur, Jacques Callies passe en revue les bimoteurs dont il a eu le temps d’apprécier certaines caractéristiques, soit du fait d’un usage régulier, soit à l’occasion de missions au long cours qui permettent de découvrir intimement un avion.

Le monde des applications de préparation de vol se contracte de plus en plus, au fur et à mesure que les utilisateurs se rallient à un camp ou à un autre. Deux ténors se partagent le haut de gamme, tandis que SkyDemon continue à régner sur le monde VFR.

Nous avons reçu énormément de demandes de la part de nos lecteurs concernant la nécessité de faire tourner leurs moteurs, au sol, pendant la période où nous ne pouvons pas voler. La vraie question demeure de savoir si la pratique du point fixe est une bonne idée ou pas. Que se passe-t-il lorsque l’on fait tourner un moteur au sol, sans voler ?

La France de l’aviation générale a une singulière résilience. Après avoir vécu un mois dans le « black out » aéronautique, après une période de sidération, on se prépare partout au jour d’après : une opportunité pour notre aviation ?

L’aéronautique est une discipline exigeante, l’apprentissage est long, les pièges nombreux. Aussi vaut-t-il mieux être bien accompagné à ses débuts. Jacques Callies raconte la course Paris – New York – Paris, et ce qu’il a appris des pilotes qui l’ont accompagné.

Si nous sommes habitués à parler de la révision générale des moteurs ou des hélices, pour ces dernières, nous ne savons pas réellement ce qui se cache derrière cette opération et quels sont les pièges qui nous attendent.

La décision du gouvernement de fermer les établissements de formation pose naturellement dans l’organisation de l’enseignement. Les écoles ont su s’adapter.

Si la majorité de l’activité aérienne est bloquée au sol par les mesures de confinement, le drone bénéficie de plus de souplesse. Mis en avant avec leur utilisation par les forces de l’ordre, les aéronefs circulant sans personne à bord ne sont pas interdits de vol.

L’EASA a simplifié la maintenance des avions d’aviation générale en modifiant la Part-M et en créant une réglementation spécifique pour les aéronefs légers : la Part-ML. Une bonne nouvelle pour l’aviation générale.

Du 28 septembre au 12 octobre derniers, quatre pilotes s’en sont allés en Afrique dans le cadre d’un périple à vocation humanitaire pour le Secours populaire français, au Burkina Faso.

Elle a touché ses premiers avions à l’âge de six ans. Après la case instructrice bénévole, elle a poursuivi par du travail aérien de surveillance chez Rectimo. Depuis deux ans, elle vole chez Jetfly sur PC-12.