Contrairement à ce que l’on pourrait penser, c’est certainement pour les avions d’aéroclubs que la discussion est la plus difficile. Les propriétaires, eux, n’ont guère d’état d’âme et prennent une décision rapide, selon l’épaisseur de leur portefeuille. Pour les avions loués par une multitude de pilotes, ce choix est beaucoup plus complexe. Les trésoriers et présidents de club nous pressent régulièrement de questions pour déterminer quel est le standard minimum en avionique aujourd’hui. Pendant de longues années, personne ne se préoccupait vraiment de l’avionique d’un appareil d’aéroclub. Jusqu’à la fin des années quatre-vingt-dix, les avions-écoles étaient équipés au minimum, puisqu’ils restaient en local.
[…]