Autant une jeune chaîne de télévision comme Paris Première peut s’honorer d’être en tête des meilleures revues de presse audiovisuelles, autant la ville de France qui se prend encore pour une capitale mondiale ne se déshonore-t-elle pas en décrétant, au retour des 24 h d’avion de son maire de Tahiti, l’interdiction de vols dans le futur ? En ignorant précisément que ces vols à venir seront propres, silencieux et propices à notre planète. Refus qui va indéniablement faire d’elle aux yeux de l’univers… Paris Dernière. Que l’on devrait d’ailleurs appeler plutôt Paris Derni’air, tant son déni du désir et de la nécessité de l’air pour la mobilité avancée du futur et son refus aveugle de l’aérien, créateur des temps modernes, la condamnent à entrer à reculons, en « reverse » arrière toute, dans l’immense et insondable ère nouvelle des transports individuels et communs de l’avenir ! Ils devront, certes, pour être acceptés demain par l’ensemble de nos sociétés, s’avérer quasiment totalement décarbonés, solaire, électricité verte ou hydrogène aidant. Mais comment comprendre ces trois dernières prises de position de l’assemblée élue qui gouverne Paris ?
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