Pour contrecarrer positivement les adversaires de notre univers aéronautique, au lieu de seulement en dénoncer et déplorer les attaques, industriels et compagnies aériennes ont entrepris, entre SAF, hydrogène et futures ailes volantes, de préparer la nécessaire et vitale décarbonation de l’aviation. Avec des calendriers oscillants entre 2035 et 2050… Mais, sans attendre, une compagnie low cost, easyJet pour ne pas la nommer, a déjà équipé tous ses appareils de logiciels d’optimisation du profil de descente (DPO) et de l’approche en descente continue (CDA). Cet investissement, dont bénéficie l’ensemble de la flotte, permet d’économiser jusqu’à 1 % de carburant et de réduire ainsi de 80 000 tonnes par an ses émissions de dioxyde de carbone. En permettant aux FMS de ses Airbus de n’utiliser, de la croisière à l’atterrissage, que la poussée résiduelle et silencieuse des moteurs au ralenti. Pour le plus grand bonheur des économies de kérosène, des riverains qui sont sous les trajectoires d’arrivée des grands aéroports et de la planète.
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