500 machines en 2021, 400 en 2022, une centaine d’exposants, une quinzaine de nationalités… Depuis que la Fédération française d’ULM a repris le flambeau il y a trois ans, l’organisation a un peu évolué avec une remise à plat afin que toutes les classes ULM soient aussi bien représentées les unes que les autres. En effet, si nous mettons en avant les multiaxes dans nos pages, rappelons qu’il existe cinq autres classes : les paramoteurs, les pendulaires, les autogires, les aérostats ultralégers et les hélicoptères ultralégers. Or, au fil des éditions, certaines d’entre elles s’étaient appauvries ou avaient carrément disparu du salon à l’exemple de celle regroupant les paramoteurs, alors qu’elle est la première voie d’entrée dans le milieu pour les jeunes. Le président de la FFPLUM, Sébastien Perrot, rappelle que l’ULM est conçu pour être simple, léger, facile à piloter et donc accessible au plus grand nombre, quel que soit son budget, soit de 5 000 à 40 000 € pour les machines « de base ».
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