En ce début janvier, lors d’une conférence de rédaction dématérialisée, Milos Krivokapic nous a proposé de nous intéresser aux Cirrus de première génération, les SR20 G1, et sa source d’inspiration a été une annonce publiée dans la revue qui concernait un Cirrus SR20 G1 de 2003, immatriculé F-HASL, proposé à la vente pour 125 000 euros, avec 1 890 h de potentiel moteur et 2 100 h de potentiel hélice. Jacques et moi-même y avons vu immédiatement une bonne idée : pourquoi ne pas acheter un avion plus moderne que la moyenne, équipé du fameux parachute balistique qui rassure pilote et passagers, plutôt que de penser aux sempiternels Piper et Cessna, ou même de s’offrir un ULM de compétition glass cockpit, même s’il dispose lui aussi d’un parachute balistique ? Même si l’avionique semble aujourd’hui un peu désuète, les performances sont-elles suffisantes pour motiver un propriétaire en devenir ? Est-ce que la structure, entièrement constituée de composites, vieillit suffisamment bien pour rendre cet achat raisonnable ? Autant de questions dont nous avons débattu avec passion avant de nous lancer dans une opération de vérification en conditions réelles.
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